août 2020
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Psychosomatique et fertilité

Près d’un tiers des couples quittent les cliniques de reproduction sans que la cause de leur infertilité n’ait été identifiée. Malgré le fait que les cliniques disposent d’équipements modernes et emploient des médecins professionnels, le couple ne sait pas où est le problème et il ne sait pas sur quoi se concentrer ni ce qu’il doit changer.

Causes somatiques et psychosomatiques

Les causes de l’infertilité sont multiples et elles peuvent être réparties en deux groupes – les causes somatiques (elles concernent le corps, le côté physique) et les causes psychiques (elles concernent l’âme, le psychisme). Parfois, on se retrouve dans une situation où aucune cause somatique n’est déterminée et où il est alors nécessaire de se concentrer sur les facteurs psychosomatiques de l’infertilité. D’une manière générale, la santé, ce n’est pas juste l’état physique du corps humain. Le psychisme, la façon de penser ou le stress jouent un rôle très important. Et dans le cas de l’infertilité, ce n’est pas différent.

Trop est toujours mauvais

Lorsque vous essayez de procréer, il est bon de se concentrer sur un mode de vie sain et de favoriser de cette manière les chances de concevoir – ceci est valable que vous soyez un homme ou une femme. Mais ici aussi, il conviendra d’appliquer le dicton bien connu « toujours avec modération ». En effet, si un couple se concentre trop sur la grossesse et qu’il ne pense qu’au bébé lorsqu’il fait l’amour, cela peut ne pas toujours être positif. L’un d’eux ou les deux peuvent faire face à une certaine pression, ce qui peut avoir un effet très négatif sur l’ensemble de l’acte. Faire l’amour est quelque chose dont un couple doit profiter et il doit être aussi détendu que possible.

Les femmes sont plus sujettes à développer des facteurs d’infertilité psychosomatiques. Cela est dû aux hormones et à la fonction que ces dernières remplissent dans le corps de la femme, au cycle menstruel et, enfin et surtout, au fait que les femmes ont plus tendance à culpabiliser. Cela conduit inévitablement à un cercle vicieux dont il est difficile de sortir. C’est pour cela qu’il est important que le partenariat soit synonyme de sincérité, d’ouverture d’esprit et de soutien des deux côtés.

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FIV et psychosomatique

Si aucune cause n’est déterminée et que la femme n’arrive toujours pas à tomber enceinte, le couple pourra décider de se rendre dans un centre de FIV. Cette décision n’est jamais agréable pour le couple et elle est très intime. C’est pour cela que, dans les centres de FIV, l’accent est principalement mis sur le soutien psychologique. La clé principale du succès, ce sont en effet les facteurs qui se déroulent dans le cerveau humain – la foi, le désir, la conscience de l’existence d’un soutien et le soutien en lui-même. S’agissant d’une clinique familiale, l’approche des médecins est professionnelle et très humaine. C’est aussi pour cela qu’à la clinique GYNEM, de nombreux coordonnateurs sont à la disposition du couple tout au long du traitement. Ce ne sont pas juste des personnes qui vous diront quand vous rendre à la clinique et à quelle heure. Leur valeur ajoutée réside dans leur approche humaine et dans leur soutien mental. À eux à vos côtés, vous formerez une équipe très solide qui se dirigera vers l’objectif souhaité – avoir une famille complète. Le processus de la FIV n’est pas que physique. La méthode, les équipements, etc., cela ne suffit pas. Il est nécessaire d’impliquer aussi la tête et la volonté. C’est en effet la seule manière de former un ensemble très scellé que rien ne pourra faire trembler.

Le cerveau humain est un outil certes très puissant mais qui peut aussi être très efficacement manipulé dans le sens positif du terme. Rendez-vous à la clinique GYNEM ou contactez-la à l’aide du formulaire. N’ayez pas peur de poser des questions et de demander qu’on vous tende une main secourable.

 

 

 

 

 

*Ce texte est traduit de l'original tchèque en langue française par l'Agence MARVEL, s. r. o.